Tout d’abord le maire en première page intérieure du journal Ensemble d’avril déclare : « Sous le titre avantageux « Salon de Provence : le pari de la renaissance », l’hebdomadaire national a consacré (…) 12 pages ». Comment jouer sur les mots pour vous faire croire ce qui n’existe pas ?
Très simple, le maire (et son adjoint en page 35 du n°54) vous racontent qu’il s’agit d’un journal national ce qui est vrai, mais on ne vous dit pas que cette édition locale n’a été tirée qu’à « 5000 exemplaires diffusés sur le nord du département » (source Le Régional n°4580). Un tirage bien loin d’une couverture nationale ! Pire, monsieur Prorel ose même parler de l’ « aubaine » d’une « diffusion nationale » (Ensemble n°54) pour justifier du coût de la publicité. De qui se moque-t-on ? Mensonges ! Salon de Provence Michel Tonon sur la fin
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Le maire vous parle d’un titre avantageux, mais il se garde de dire que « Fabienne Barrière (de la mairie) ne nie pas que le titre du dossier est de son inspiration » (même source). On vous manipule !
Il vous parle d’un dossier 12 pages sans préciser que dans les douze on a compté : la couverture, le sommaire et les deux pages de publicité payées par le contribuable ! On déforme !
Quand au coût des publicités (2000€) et leur pertinence : si le dossier du Point est si élogieux et si fédérateur pour Salon, à quoi bon payer deux pages de publicité lorsque l’on en a déjà 12 ?!