Ceux qui me connaissent savent bien que j'ai mon franc-parler et que je ne suis téléguidé par aucun parti. La politique n'est pas pour moi une source de revenu ni l'affirmation d'une position sociale. L'intérêt de Salon et des Salonais est le seul moteur de mon action et de celle de "Changeons Salon". Je ne suis pas de ceux qui tiennent à tout prix à être dans les journaux ou sur toutes les photos. Cependant, il me faut aujourd'hui le dénoncer avec force : la situation locale commence à devenir malsaine pour ce qui concerne les intérêts économiques de notre ville.
J’habite une ville où il se passe dans les commissions des choses bizarres (page2), où les dépenses et les études sont somptuaires (page2), où la zac n’avance pas et où les drones (avions sans pilote) sont en partance pour Aix ! (page3) J’habite une ville où tout est camouflée par une communication trompeuse ! Où faire de la politique se résume à faire croire (page 3/4).
J'habite une ville où l'on aime bien voir la jeunesse dans la rue pour … rien ; où l'on encourage les ados à chahuter plutôt qu'à travailler. On appelle cela une grève. Comme si les lycéens avaient un patron et qu'ils travaillaient pour lui et non pas pour eux !
J'habite une ville où le maire va même jusqu'à encourager cette jeunesse suicidaire à la porte du lycée en prétendant qu'il est là seulement pour assurer leur sécurité. En attendant il n'assure sûrement pas son autorité à lui. Il est vrai qu'il a tellement mal été élu, par procuration, que son pouvoir est peut-être mieux assuré par la rue que par les urnes. Qui sait ? En attendant l'entrée du lycée est tellement sûre qu'une ado de 17 ans y est enivrée et violée 3 fois par des non-lycéens.
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