Edito décembre 2006
Le mot du président : Jean Rémignon
Michel Tonon maire donné perdant municipales 2008
On peut penser sérieusement que l'immense majorité des Salonais en a assez de voir son argent dilapidé pour faire plaisir et engraisser quelques privilégiés qui s'arrogent le droit d'embaucher sans concours leurs petits copains, de recevoir à grands frais sur le dos du contribuable, de se payer des inauguration bidons de monuments fantoches, de se payer aussi des transports hors de prix etc.… et qu'importe si le Conseil d'Etat condamne.
Il faudra bien un jour faire cesser ces gaspillages éhontés. Les prochaines élections municipales en sont l'occasion. Pour cela, en dehors de toute considération politicienne, une seule solution :
l’unité, l'unité des gens honnêtes et sincères.
L'union contre tous les piètres gestionnaires malhonnêtes, incompétents et sans vergogne qui osent se prétendre de gauche alors qu'ils sont en fait là pour leur intérêt personnel. Cette union ne peut se faire qu'à trois conditions incontournables :
1. La démocratie : pour cela il faut qu'au premier tour les salonais aient le choix. C'est à eux de choisir leur maire et non aux appareils des partis politiques de droite comme de gauche.
2. Réunion en une seule liste à la proportionnelle au 2ème tour : afin de sanctionner sévèrement les sortants sans foi ni loi qui dilapident tous les atouts de la ville sans créer un seul emploi réel (hors des emplois publics pour les copains et qui se payent sur le dos du contribuable et sans apporter la moindre richesse). Au premier tour on choisit, au deuxième tour on élimine : c'est la pure tradition républicaine.
3. Une volonté et un programme commun dont l'objectif est de ramener la richesse à Salon en diminuant la pression fiscale (la plus forte de France). Une seule promesse mais qui sera tenue : ramener les impôts ménages à la moyenne nationale.
Salon de Provence, Salon de Provence, Salon de Provence, Salon de Provence
1 commentaire:
"l'unité des gens honnêtes et sincères", vous risquez de vous sentir bien isolé...
Georges.
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