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lundi 14 janvier 2008

Et si l’on demandait l’avis des intéressés !

Réponse au Régional concernant le ralliement de Patrick Alvisi à Nicolas Isnard

En cette période électorale, on cause, on cause mais on oublie de demander tout simplement l’avis des intéressés.

Suite aux articles parus la semaine dernière concernant le ralliement de Patrick Alvisi avec Nicolas Isnard, et auxquels "j’aurai bondi" je tiens à apporter quelques précisions:


On se trompe et on trompe le lecteur (électeur). En effet Nicolas Isnard n’est pas homme à avoir décidé seul sans avoir au préalable demandé l’avis de son équipe. Chez nous, le dialogue et la consultation existent réellement. Cela nous change radicalement de la défunte majorité sortante, minée par les tiraillements et les ambitions personnelles.

Ceux qui aujourd’hui s’insurgent contre ce ralliement en des termes injurieux et méprisant, ont bien vite oublié que depuis des semaines ils faisaient le siège de Patrick Alvisi pour le rallier à leur triste cause.

Alors qu’ils essaient de rallumer les discordes d’antan, ces bons messieurs ont oublié que l’intérêt supérieur de Salon, le bien commun sont des impératifs qui dépassent très largement les petits intérêts de nos modestes personnes. C’est du moins notre point de vue.

Et puis le pardon des offenses n’est-il pas naturel pour un simple chrétien, pour un homme libre ? Pour un politicien, même élevé par les bons pères, cela parait impossible.

Messieurs les journalistes, par pitié, ne pensez pas à notre place ! N’hésitez jamais à nous demander d’abord notre avis. Il me semble bien qu’il n’y a pas si longtemps, et fort judicieusement, votre journal soulignait les qualités d’homme de terrain de Patrick Alvisi.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Ce sont les procédés habituels du Régional qui roule pour le maire mais sans trop pouvoir le dire.

Le propriétaire du Régional a obtenu peu après le retrait de la plainte qu'avait déposé le maire contre le journal dans l'affaire de la vente louche des Flaments, le marché d'impression du journal Ensemble, des lettres du maires, du journal interne municipal, des suppléments, des tracts, affiches (sans parler des multitudes du pubs payées pour figurer dans le journal, généralement des pleines pages couleurs)... un marché énorme pour l'imprimeur...

Anonyme a dit…

Comme d'habitude, Le Régional attaque Rémignon... Normal, c'est un des rares qui ose dire que cet hebdomadaire est très largement financer par les marchés publics octroyés par Tonon.