Salon de Provence, Michel Tonon maire de SalonUne vague de panneaux publicitaires hideux a poussé sur nos trottoirs, combinée avec la campagne d’affichage du maire « télévendeur ». Une opération de communication combinée de longue date (comment pourrait-il en être autrement…) justifiée par le maire dans la presse comme issue d’«une demande accrue de la population ». En réalité le maire a profité une nouvelle fois de l’argent des contribuables Salonais pour s’afficher partout. Aujourd’hui, il n’a légalement plus le droit d’utiliser les moyens municipaux pour communiquer sous peine de voir ces dépenses comptabilisées dans ses comptes de campagne. Afin de détourner grossièrement l’esprit de la loi, il a ensuite remplacé sa trombine par les fenêtres closes de l’hôtel de ville, tout un symbole…
Suite à cette débauche d’affiches, une polémique est née et sur sa vague de mensonges notre maire intérimaire déclarait le 13 décembre dernier : « dans 10 jours il n’y aura plus rien », alors que deux mois plus tard il était encore sur tous les trottoirs !
Il a ajouté bassement pour se dédouaner (avouant implicitement son forfait) que quand l’ancien maire faisait de même, cela ne gênait pas l’opposition. Et bien si Monsieur Tonon, cela gênait "Changeons Salon" et cela nous navre encore plus aujourd’hui.
Michel Tonon donné perdant par les sondeurs -Jean Rémignon
1 commentaire:
Tonon communique, communique pour refaire son retard. Au début de son mandat, cette incapacité notoire à ne pas pourvoir communiquer seul, c'est à dire sans filet, était patente.
Aujourd'hui il tente d'inverser dans les esprits cette triste réalité, mais toujours avec une certaine distance : au téléphone.
Patricia M.
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