Il fallait à notre rugbyman, devenu monarque local, la marque de son règne. C’est fait, inauguré à grands frais et en grande pompe en présence de son suzerain Guérini : le bétonnage des cours. S’ils sont transformés en piège à chewing-gums, noircis en moins de 3 mois, et qu’il était parfaitement prévisible que leur blanchiment au Karcher coûterait une fortune aux contribuables salonais, il est patent que cela n’était par leur préoccupation, car la dépense à Salon, les dynasties qui se sont succédées, ont montré, qu’on ne reculait jamais devant.La cour municipale a approuvé le prince dans son projet mégalomane, loin de le modérer dans la dépense, elle le conforte toujours. Il est vrai qu’il a la haute main sur la nomination aux emplois. Dociles ils peuvent caser, comme ils ne se sont pas privés de le faire : enfants, maîtresses, neveux, amis, sans concours et sans diplômes. Quant à l’opposition, elle est soigneusement muselée par celui qui assure la police des débats du conseil municipal, détient toute la propagande dans Ensemble et ses innombrables suppléments et s’assure la servitude de la presse locale, trop peureuse, à juste titre, de perdre les annonces que paient la commune et l’agglopole dans ses pages.
Non Tonon ce n’est pas merveilleux d’occulter les plus graves problèmes : emplois, sécurité, vandalisme, pouvoir d’achat et de tout anesthésier dans le clientélisme. Le lendemain de fête, après l’apéritif géant, aura un goût amer dans un pays bientôt en cessation de paiement. Le rayonnement et l’avenir de la ville ne sont pas les dépenses inutiles mais le développement économique pour lequel on n’a rien vu.
Le statut de prince, lorsqu’on a toujours été courtisan, cela tourne la tête, mais nous ferons tout pour vous ramener sur terre, à notre niveau, et que TONON premier soit aussi le dernier.
2 commentaires:
Rien de neuf à Salon...
PLUS DE POUVOIR POUR CES INDIVIDUS QUI NE CHERCHENT QU'A SE SERVIR EUX ET LEURS PROCHES C'EST LA RUINE DES CONTRIBUABLES QUI PAIENT PLEIN POT TOUTES LEURS GABEGIES
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