Du vent, du flan et … aux frais des contribuables

Nous sommes gâtés en ce début d'année : Monsieur Tonon nous a balancé tous ses poncifs dans ses innombrables discours de vœux, dans ses lettres, dans les lettres du maire etc.… l'intox y va à fond. C'est la méthode Coué, il croit qu'en répétant que tout va bien il arrivera à convaincre. En fait il ne convainc que lui et encore… pas sûr.

Faire croire qu'il ne gaspille pas quand il passe son temps à jeter l'argent par les fenêtres : apéritifs, repas, subventions, repas de gala préparés en trop, combien ? De quoi nourrir tous les nécessiteux pour l'hiver !

Nous dire qu'il agit alors qu'il ne fait que s'agiter pour masquer qu'il est creux !

Au fait combien d'entreprises installées à Salon ? Combien de vrais emplois créés ? En dehors bien sûr des petits copains casés comme budgétivores soit à la mairie, soit à l'Agglopôle pour venir coiffer les vrais fonctionnaires compétents et qui eux travaillent.

Quand on n'a rien à proposer, il faut bien occuper le terrain et raconter n'importe quelle fadaise. La dernière invention : la maison de l'emploi. Enfin une maison toujours vide (de sens) à Salon : du dogmatisme imbécile. On peut toujours se gorger de mots. Pendant ce temps on prolonge en toute illégalité et en prenant le préfet pour un imbécile, les transports urbains les plus chers de France. Et devinez qui paye ?
Salon 2008 - L'intégrité de Jean Rémignon a payé
La dernière mode, mais pas innocente celle-ci, c'est de faire fructifier l'immobilier. Ca peut toujours rapporter gros. Les mots "logements sociaux", "mixité" etc.… fleurissent beaucoup ces jours-ci. Hélas pendant ce temps on permet de construire n'importe quoi, n'importe comment en oubliant tout simplement les règles les plus élémentaires de l'urbanisme.

L'essentiel ce n'est pas de faire bien, c'est de faire croire, de faire illusion.

Et pendant ce temps, la ville s'appauvrit résolument et on continue à prendre les contribuables pour la poule aux œufs d'or. Rémignon Municipales Salon 2008 - Salon de Provence

Pouvait-on espérer mieux avec un maire intérimaire, intermittent (du spectacle) et une équipe d'amateurs sans compétence ? Mais la place est bonne alors, suivant une bonne tradition salonaise, monsieur le maire (par intérim) louche un peu à droite. Des fois que Ségolène serait chancelante, il vaut mieux avoir aussi un pied chez Bayrou. Heureusement qu'il n'a que deux pieds !!! Salon Rémignon Municipales Salon 2008